La radio libérale, détenue par Bernard Arnault, modifie ses programmes à la marge, satisfaite d’accueillir un million d’auditeurs chaque jour.

Espagne, Grèce et Tunisie restent les destinations les plus cotées chez les voyagistes, mais sont en recul. L’Italie, en revanche, attire un nombre croissant de Français.

L’avocat pénaliste a été rémunéré par deux intermédiaires, actuellement mis en examen, pour déposer des plaintes contre des personnalités liées à des régimes rivaux du Qatar. Il affirme n’avoir rien su des intentions réelles de ses bailleurs de fonds.

Si les milliards de la plate-forme américaine ont pu accoucher de succès planétaires salués par la critique, des choix éditoriaux peu audacieux ont fini par faire ressembler Netflix à un banal bouquet télévisuel à l’offre copieuse mais fade.

Dans un rapport diffusé le 13 septembre, la Cour des comptes dresse un bilan sévère des premières sessions du Service national universel (SNU), qui existe depuis 2019. Peu lisible, mal piloté et sans horizon clair, le dispositif devra faire l’objet d’une « clarification » rapide, insiste la juridiction.

En donnant une impulsion à la « visibilité des invisibles », l’événement olympique peut s’inscrire dans les mémoires et revêtir une dimension patrimoniale, analyse le spécialiste de l’histoire du sport, dans un entretien au « Monde ».

En 2011, afin de soigner un sévère mal-être, cette trentenaire américaine s’est vu poser un implant profond ciblant une zone du cortex préfrontal. Treize ans plus tard, elle témoigne du succès, pour elle, de cette technologie encore expérimentale.

Un portrait du plus scandaleux des papes, un autre de celui qui a résisté à Napoléon et un décryptage du regard du Saint-Siège porté sur la figure du migrant : voici trois livres récents éclairant chacun un pan de l’histoire de la papauté.

Au sein des dynasties entrepreneuriales, la transmission du pouvoir à la jeune génération est un enjeu aussi stratégique qu’émotionnel, préparé très en amont – parfois même dès l’enfance.

En Bretagne, depuis le mois de juin, cinquante-cinq édiles des Côtes-d’Armor ont pris un arrêté visant à répondre aux « troubles à l’ordre public » suscités par « une offre sanitaire manifestement insuffisante pour garantir l’égalité d’accès aux soins de [leurs] administrés ».