Le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, contraint par un projet de loi de finances pour 2025 en berne, a présenté ses chantiers prioritaires mardi, souhaitant repartir de zéro sur un certain nombre de sujets.

Alors que les clients commandent de moins en moins de vin, notamment à midi, des restaurants comme L’Oiseau blanc, à Paris, développent des cartes de boissons sans alcool élaborées, reflet d’un marché en plein essor.

Si le nombre de ces unités accueillant des élèves dont le handicap ne leur permet pas de suivre un enseignement continu dans une classe ordinaire est en constante augmentation, elles ne parviennent pas à satisfaire des besoins grandissants.

Lancée il y a quinze mois, cette grande enquête visait à dresser un état des lieux dans tous les diocèses métropolitains pour aider à la préservation du patrimoine. Sur la question du financement, la ministre de la culture, Rachida Dati, a redit sa volonté de faire payer l’entrée de Notre-Dame.

Alors que le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, s’est dit défavorable à ces lieux où la consommation de certaines drogues est autorisée, les inspecteurs des affaires sociales et de l’administration plaident, à l’inverse, pour leur maintien et l’ouverture de nouveaux sites, en appelant à un « portage politique assumé ».

Plus d’une centaine de sociétés d’investissement américaines s’intéressent désormais au financement de prestataires du Pentagone.

A l’initiative du directeur du théâtre de Nanterre, cinq auteurs se sont emparés des centaines de pages rédigées lors de la crise des « gilets jaunes » pour une soirée de lectures.

Comment des combats politiques traversés de valeurs laïques et émancipatrices aboutissent-ils à des contre-révolutions religieuses ? C’est la question que pose, dans un entretien au « Monde », le philosophe américain Michael Walzer, qui tente d’y répondre en analysant l’histoire récente d’Israël, de l’Inde et de l’Algérie.

Ursula von der Leyen compte bien parvenir à un accord commercial avec les pays d’Amérique du Sud, malgré l’hostilité de la France. La présidente de la Commission doit rencontrer le premier ministre, Michel Barnier, mercredi.

Face aux lenteurs des discussions sur un accord de libre-échange entre l’Union européenne et les pays du Marché commun du Sud, Asuncion exprime ses réticences et sa lassitude, tandis que Montevideo tente de s’émanciper du marché commun du Sud.